Mathieu Vincenti & Djee Beats pour la prod

Logos Admetos – Coronavirus

Pour 2 packs de pates

des rapaces se tapent avec leur frère pour une histoire de cash des hyènes se fâchent avec mere

relent amer de bobos

 collabos aiment la délation minorité de merde masque la révélation y’a pas que du clash

 ca crache surtout du positif

c’est dans l’adversité que l’homme se détache du négatif

une chaine humaine essaime dans cette crise sanitaire participe a l’effort de guerre et sème leur savoir faire chaque jours le bas de la pyramide en premiere ligne

 issue de la plebe

 la resistance s’anime

Infirmières brancardiers et tous ces soignants ces vaillants signant pour resister à cet assaillant se saignant en veillant face a ce virus malveillant

balayant de l’honnête éboueur au brigand en col blanc leur système de croulant s’écroulant comme un chateau de carte leurs Profits face a nos morts sur une pancarte

 ces caissières

 ces Guerrières

 à l’appel pour qu’on s’nourrisse l’avarice des riches s’repend autant que les rayons se remplissent, En Glisse une pour les oubliés

 les chiens des quais, soldats au crochet retranchés dans des collines de minerais, maquis de containers, docker déterminés

 spartiate mentalité syndiqués à la CGT

 alimente la France sur un champ de mine 115 ans de combats

 de sacrifices

 unis debout solidaire digne Force aux regimes spéciaux qu’ils ont tentés débaucher Soldats du mur

 le roi d’la nuit vient te faucher car c’est les travailleurs qui font tourner la terre

 pas ces financiers pas ces actionnaires

 stop le mirage,

 j’enrage, un carnage pandémique

 on récolte le fait de rendre nos services publics anémique les politiques nous croient tous amnésiques

 gilet jaune j’ me rappel des coups d’matraques et des gaz de leurs flics relents racistes de droite

 du diviser pour nous saigner

 pour mieux régner, comme pour ce gosse maltraité

 cette femme pleine de bosse

baffer par son bouffon de bourreau

 pour des biftons la terre bouffée comme un gateau

 alors j’te demandé 2 minutes de ton temps

 le temps qu’un instant germe l graine de la resistance, ces gens savaient pour le virus ils laissent crever la France

 Blessent la base

 c’est la souffrance qui met l’essence pense que sous couvert de corona ca gangrene tous nos acquis

 c’est pour leurs biens que ces connards jouent avec ta vie stressé jusqu’à la dernière goutte pressé le prolétaire coûte que coûte satisfait du gravier sans se rappeler que c’est dans l’excédant de larmes et le sang que chaque conquis est arraché

 sur une barrière y’a que deux côtés

 obliger de montrer les crocs pour pas se laisser broyer tant qu’on vit on lutte et lutter c’est déferler pour les noyer

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1 Comment

  1. « Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde.

    La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas.

    Mais sa tâche est peut-être plus grande.

    Elle consiste à empêcher que le monde se défasse »

    10 décembre 1957 : discours d’Albert Camus pour la réception du prix Nobel


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